Il existe plusieurs solutions pour réchauffer la planète rouge.
On pourrait bombarder Mars d’astéroïdes. Un astéroïde est un corps céleste
Un bombardement d'astéroïdes aurait pour première conséquence une augmentation directe de la température de la planète. L'énergie due à l'impact serait à l'origine d'un réchauffement. Mais le bombardement aurait aussi pour effet de libérer le CO2 présent dans les roches ce qui accentuerait encore ce réchauffement.
Ce bombardement aurait aussi comme avantage la création de cratères assez profonds pour implanter les premières plantes sur Mars.
Les astéroïdes étant des corps célestes, ils pourraient remédier aux manques d’azote sur Mars. Ce gaz est présent dans la ceinture d’astéroïdes entre Jupiter et Mars. Les astéroïdes ne contenant presque que de l'ammoniac (formés par condensation lors de la création du système solaire) seraient une source non négligeable de gaz à effet de serre. Enfin les astéroïdes sont composés de métaux qui pourraient servir pour les installations humaines notamment la mise en orbite d’un miroir géant.
Photo d’un astéroïde:
++++1%C3%A8re.jpg)
On pourrait aussi bombarder Mars avec des comètes. Ces corps célestes sont composés de 80% d’eau. L’intérêt de projeter une comète sur la planète rouge serait d’apporter une quantité considérable d’eau sur la planète.
Les comètes sont aussi composées de gaz à effet de serre ce qui serait un autre avantage.
Photo de la comète Lulin :
++++2%C3%A8me.jpg)
Une autre solution serait de bombarder Mars avec les fragments rocheux qui constituent les
anneaux de Saturne. Ces fragments sont de tailles variées : en effet leur taille peut aller d’un
grain de poussière à la taille d’une maison. Les fragments sont composés de glace à -180°C
car la lumière solaire est réfléchie sur les anneaux de Saturne, en revanche tous les composants ne sont pas tous connus. Cette solution apporterait beaucoup d’eau sur Mars.
Photo de Saturne:
++++3%C3%A8me.jpg)
Conclusion : Ces méthodes restent très brutales et pourraient soulever une grande quantité de poussière sur Mars et nuire à la terraformation, les conséquences réelles sont inconnues.
On pourrait bombarder Mars d’astéroïdes. Un astéroïde est un corps céleste
Un bombardement d'astéroïdes aurait pour première conséquence une augmentation directe de la température de la planète. L'énergie due à l'impact serait à l'origine d'un réchauffement. Mais le bombardement aurait aussi pour effet de libérer le CO2 présent dans les roches ce qui accentuerait encore ce réchauffement.
Ce bombardement aurait aussi comme avantage la création de cratères assez profonds pour implanter les premières plantes sur Mars.
Les astéroïdes étant des corps célestes, ils pourraient remédier aux manques d’azote sur Mars. Ce gaz est présent dans la ceinture d’astéroïdes entre Jupiter et Mars. Les astéroïdes ne contenant presque que de l'ammoniac (formés par condensation lors de la création du système solaire) seraient une source non négligeable de gaz à effet de serre. Enfin les astéroïdes sont composés de métaux qui pourraient servir pour les installations humaines notamment la mise en orbite d’un miroir géant.
Photo d’un astéroïde:
++++1%C3%A8re.jpg)
On pourrait aussi bombarder Mars avec des comètes. Ces corps célestes sont composés de 80% d’eau. L’intérêt de projeter une comète sur la planète rouge serait d’apporter une quantité considérable d’eau sur la planète.
Les comètes sont aussi composées de gaz à effet de serre ce qui serait un autre avantage.
Photo de la comète Lulin :
++++2%C3%A8me.jpg)
Une autre solution serait de bombarder Mars avec les fragments rocheux qui constituent les
anneaux de Saturne. Ces fragments sont de tailles variées : en effet leur taille peut aller d’un
grain de poussière à la taille d’une maison. Les fragments sont composés de glace à -180°C
car la lumière solaire est réfléchie sur les anneaux de Saturne, en revanche tous les composants ne sont pas tous connus. Cette solution apporterait beaucoup d’eau sur Mars.
Photo de Saturne:
++++3%C3%A8me.jpg)
Conclusion : Ces méthodes restent très brutales et pourraient soulever une grande quantité de poussière sur Mars et nuire à la terraformation, les conséquences réelles sont inconnues.
Une autre solution pour faire fondre la glace des calottes polaires serait d'utiliser d'immenses miroirs qui collecteraient la lumière du Soleil pour la focaliser sur les étendues gelées. Un miroir de ce type aurait un rayon de 125 kilomètres et pèserait 200 000 tonnes.
L'image ci-dessous représente le miroir orbital Russe Znamya. Son diamètre est de 25 mètres, pour un poids de 3 kg. Znamya a été déployée depuis un vaisseau Progress en février 1999.
+++4%C3%A8me.jpg)
Les inconvénients de cette solution seraient le prix, la fabrication d'un miroir de cette taille et sa mise en orbite.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire